65e Folie : Le Fleuve de l'éternité, tome 1 : Le Monde du Fleuve

Le Fleuve de l'éternité, tome 1 : Le Monde du Fleuve
To Your Scattered Bodies Go
de
Philip José Farmer

Tous les morts de la terre sont ressuscités !

Ils se réveillent aujourd'hui au bord d'un fleuve inconnu — sur une planète non moins inconnue. Morts dans l'enfance ou très vieux, obscurs ou illustres, ils ont tous à présent vingt-cinq ans. Le bel âge... et somme toute la belle vie puisque, au long du fleuve, des « stations » leur proposent nourriture, tabac, alcool, etc.

Un bonheur qui n'empêche pas quelques-uns de se poser des questions.


Bouh quel résumé médiocre... Dit comme ça, ça fait pas trop envie, en plus certaines choses ne sont pas tout à fait vraies, il y a encore des enfants par exemple, et on ne sait pas vraiment l'âge qu'ont les ressuscités... Jeunes certes, mais sans âge précis...
J'avais lu ce livre il y a plus de dix ans, et j'avais vraiment beaucoup aimé, et depuis quelques temps, j'avais vraiment envie de le relire.
Tout d'abord, il est à peu près tel que je m'en souvenais. L'histoire est vraiment originale, elle commence avec le réveil de tout le monde au bord du Fleuve, et les premières réactions diverses de chacun.
Tout de suite, on s'intéresse à celui qui sera le personnage principal de l'histoire : Richard Francis Burton. Le célèbre : officier militaire, escrimeur, explorateur, écrivain et poète, traducteur, linguiste, orientaliste, maître soufi, ethnologue, diplomate. Pour ceux qui ne connaissent pas bien Burton (qui comme vous le devinez aux nombreux métiers qu'il a exercé, a eu une vie riche) : Wiki.
Nous allons donc suivre Burton, qui va rencontrer de nombreuses personnes, plus ou moins célèbres, telle la Alice qui servit d'inspiration pour "Alice au pays des merveilles", ou encore un des premiers empereurs romains, et d'autres encore...
Burton est l'archétype de l'aventurier tel qu'on l'imagine, fort, intelligent, avec une aura charismatique... Il ne tarde pas à fédérer un petit groupe autour de lui, et ils décident ensemble de remonter le Fleuve, d'aller à sa source, pour essayer de trouver quelque chose qui les aideraient à comprendre ce qu'ils font là...
Mais Burton est aussi un macho, qui même s'il aime les femmes, a quand même tendance à les considérer comme inférieures, et par moments c'est un peu agaçant il faut bien le reconnaître.
J'espère surtout que c'est le personnage qui veut ça et pas le style de l'auteur, mais je crois me souvenir que dans le deuxième tome, le personnage principal change, donc on verra si ce machisme est conservé ou non.
En tout cas, c'est vraiment un très bon livre, qui somme toute n'a pas tellement vieilli, et qu'on prend toujours un immense plaisir à lire, et qu'on n'a pas vraiment envie de lâcher quand on l'a commencé...

64e Folie : Contes et Légendes inachevés, tome 2 : Le Second Âge


Je ne mets pas de résumé, c'est exactement le même que pour le 1er, chroniqué ici.
Encore une fois nous voilà plongés dans l'univers fantastique de Tolkien. On démarre directement par une histoire décrivant la géographie du Númenor et on a ensuite plusieurs histoires s'intéressant à divers personnages du Númenor et ensuite l'histoire de Galadriel.
Comme d'habitude tout est extrêmement intéressant, et d'une richesse incroyable. Tolkien avait vraiment pensé à tout, il avait même réfléchi à l'origine des noms de ses personnages, à leur passé, au passé de son univers, à l'histoire de personnages qui ne seraient probablement jamais développés et mis en histoires. Il a par exemple inventé toute la chronologie et la généalogie des rois de Númenor, il a même inventé les lois et les coutumes qui régissent le royaume.
L'histoire de Galadriel est très intéressante aussi, on voit le passé du personnage, ça permet de mieux la cerner par rapport à sa brève présence dans Le Seigneur des Anneaux.
Aucune des histoires (à part la toute première sur la géographie du Númenor) n'est achevée, mais on a de nombreuses notes de Christopher Tolkien, qui met les bouts d'écrits quee son père avait envisagés comme suite. Parfois on a deux ou trois versions différentes. Parfois Christopher Tolkien nous explique aussi, que son père avait entrepris de modifier certaines histoires. L'histoire de Galadriel par exemple aurait vraisemblablement été assez différente si Tolkien avait pu terminer, et cela aurait entraîné des changements assez conséquents dans d'autres histoires, comme celle du Silmarillion par exemple.
On se rend vraiment compte en lisant les morceaux que met Christopher Tolkien et en lisant les notes qu'il fait que son père était en fait un éternel insatisfait. Il est probable que la plupart de ce qui a été publié après sa mort, n'aurait de toute façon jamais été terminé même s'il avait vécu plus longtemps.
C'est probablement ce qui fait qu'aujourd'hui son univers est si unique et qu'il reste pour la plupart des gens LA référence en matière de Fantasy. Parce que son univers est cohérent, structuré, et qu'il a une Histoire qui ne fait pas artificielle, une Histoire à laquelle on croit sans même se poser de questions, tellement ça semble évident. D'ailleurs Christopher Tolkien met plusieurs fois des morceaux de lettres ou de notes que son père a écrites. Et comme il en parle, il donne l'impression de parler de quelque chose de passé, dont il manquerait des éléments aujourd'hui, ou des histoires ayant plusieurs sources qui expliqueraient les différentes versions.
Tout ça fait qu'encore une fois, c'est un livre exceptionnel qui se dévore extrêmement rapidement.

63e Folie : Les psaumes d'Isaak, tome 1 : Lamentation


La cité de Windwir vient d'être anéantie, et avec elle la Grande Bibliothèque où reposait la mémoire du monde. L'onde de choc de cette catastrophe rompt les équilibres politiques et religieux des Terres Nommées, attise les convoitises, ravive les complots, met à mal les alliances. La guerre est inévitable.
Rudolfo le roi tsigane, seigneur des Neuf Maisons Sylvestres, est le premier sur les lieux et recueille dans les ruines un automate de métal. Agité de sanglots et rongé par la culpabilité, celui-ci s'accuse d être à l'origine du drame. Quel est son terrifiant secret ? A-t-il été manipulé ? Qui voulait la destruction de Windwir et pourquoi ?
Mais voilà que Neb, un jeune moine orphelin qui a assisté à l'horreur, commence à faire des rêves prophétiques...


Ce livre a été lu dans le cadre d'un partenariat entre :
ET

Tout d'abord merci aux éditions Bragelonne de m'avoir permis de découvrir ce magnifique livre. Comme d'habitude c'est un livre qui est beau en plus d'être intéressant.
Avec Lamentation, nous avons entre les mains le premier tome d'une saga prévue pour se dérouler sur cinq livres. Une saga ambitieuse donc, et qui aura le mérite de faire preuve d'originalité en nous proposant autre chose qu'une trilogie.
L'histoire est vraiment bien trouvée, cette destruction de la ville de tous les savoirs et cette quête de la vérité pour savoir qui est responsable et pourquoi on a pu vouloir la détruire est très bien menée.
Dans ce monde, il n'y pas de créatures étranges et pas de magie, ou presque pas. La seule magie que l'on voit à l'œuvre est celle à l'origine de la destruction de Windwir et les "magykes" permettant aux éclaireurs des différents camps de devenir en quelque sorte invisibles.
Cet univers est intéressant et intriguant, parce qu'on fait très souvent référence au "Désert Bouillonnant" qui était les anciennes terres des différents peuples des Terres Nommées détruites suite à un cataclysme magique causé par l'ancien "grand" méchant. Et telles qu'on nous en parle, il semble que ces terres possédaient des technologies très évoluées, voire "futuristes", et ce sont ses technologies que leurs descendants cherchent à récupérer par des fouilles minutieuses aux abords du Désert, et qui sont ensuite conservées et distribuées de manière très précautionneuse pour éviter qu'une catastrophe ne survienne de nouveau.
Voilà donc le point au début du livre, puis la cité est détruite, avec toutes les connaissances qu'elle abritait. On va alors suivre différents personnages tous impliqués de près ou de loin dans cet évènement.
Il y a bien sûr, Sethbert, le personnage que l'on déteste tout de suite, on nous dit clairement dès le départ, qu'il est LE méchant, et en plus il passe son temps à s'en vanter.
Il y a Rudolfo qui est en quelque sorte le héros de l'histoire, qui prend immédiatement la décision de faire reconstruire sur ses terres, la Bibliothèque où étaient rassemblés tous ces savoirs.
On a également Jin Li Tam, qui est un personnage complexe, une femme qui manœuvre avec subtilité pour suivre les plans de son père. Une femme belle et forte, loin de la femme sans défense.
On trouve encore plusieurs autres personnages très importants, mais je ne vais pas tout détailler ici.
Cette histoire est très bien construite et pensée, parce que de la destruction de cette cité que l'on peut penser avoir été causée par un fou, on s'aperçoit au fur et à mesure de la lecture, que la situation est beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît au premier abord. Ainsi certaines choses que l'on prenait pour acquises, prennent d'un seul coup une autre allure à la lumière d'une explication différente.
Ce livre m'a bizarrement fait penser à Dune pour l'histoire du père de Jin Li Tam, et son passé. Je ne veux pas trop en dire pour ne pas dévoiler de morceaux de l'histoire, mais ceux qui ont lu Dune trouveront peut-être une certaine ressemblance avec le Bene Gesserit. Mais ce n'est pas un défaut loin de là, c'est plutôt bien vu, parce que dans ce cadre, c'est assez surprenant.
Ce livre peut surprendre certains adeptes de la Fantasy "de combat" dirons-nous, car dans ce livre-ci, même s'il y en a quelques-uns, ce n'est pas ça qui est le plus important, c'est plus l'évolution des personnages et la compréhension de tout ce qui tourne autour de la destruction de Windwir.
Au final, c'est donc un très bon livre dont on a hâte de connaître la suite, même s'il pourrait presque se suffire à lui-même. Je crois qu'on a pas de grosse frustration à la fin, parce que c'est vraiment une fin, et non pas une coupure au milieu de quelque chose.

62e Folie : Siege

Siège, n°=1
de
Brian Michaël Bendis et Olivier Coipel

Voici le 1er numéro d'une nouvelle et, comme souvent lors d'un crossover, éphémère revue mettant en scène les personnages Marvel.
Ici démarre donc le crossover Siege. Pourquoi Siege ? Parce que Norman Osborn qui (comme vous le savez si vous avez suivi les revues Marvel ces derniers mois) est donc le "protecteur de l'Amérique" sous le costume d'Iron Patriot, a décidé de lancer l'assaut contre Asgard qui (comme vous le savez également :P) se trouve au-dessus de Broxton, Oklahoma. En effet, il a décidé que l'arrivée d'Asgard sur Terre et son "installation" au-dessus de Broxton (qui ne dérange absolument personne là-bas) constituait une invasion. Il lance donc ses "Vengeurs" contre les murs d'Asgard, suite à une pseudo-catastrophe qu'aurait provoquée un Asgardien, et en réalité orchestrée par lui-même.
La deuxième partie, comme souvent ces dernières années dans les numéros spéciaux des crossovers, nous fait suivre le journaliste Ben Urich, reporter au Front Line, journal indépendant qui ne mâche pas ses mots contre Osborn. Parti à Chicago, pour couvrir la fameuse catastrophe "causée" par Volstagg l'un des "Trois Guerriers" amis de Thor. Il va alors tomber sur le dit Volstagg et profiter de l'occasion, pour chercher la vérité derrière ces évènements.
L'histoire est sympa, on ne s'ennuie pas en la lisant, contrairement au dernier crossover "Secret Invasion" où on avait quand même un peu l'impression de se faire avoir... Le dessin d'Olivier Coipel pour tout la première partie est comme toujours superbe. Le dessin de Chris Samnee en deuxième partie est pas mal aussi, mais dans un genre assez différent.
Voilà, donc si vous êtes fans des séries Marvel et que vous avez suivi un peu ces derniers mois, n'hésitez pas, Siege vaut l'achat, en plus il n'y aura que quatre numéros normalement.


19/30

61e Folie : Kookaburra Universe, tome 12 : L'Honneur du sniper

Kookaburra Universe, tome 12 : L'Honneur du sniper
de
Nicolas Mitric et Christophe Alliel

C'est l'histoire d'un nom de légende dans tout l'univers, celui de Preko...
L'histoire de son origine, de sa mort et de sa renaissance.
L'histoire d'un passé obscur qui ronge et dévore, auquel on essaie d'échapper et que finalement on affronte, dans l'espoir de s'en libérer.
L'histoire d'un avenir tracé par un terrible héritage jamais réclamé. C'est une histoire d'hommes et d'amitié, mais avant tout une histoire d'honneur...
L'honneur du sniper !


Voici le tome 12 de cette sympathique série se déroulant dans l'univers de la série Kookaburra. Pour rappel, on suit à chaque tome une nouvelle équipe de scénaristes et dessinateurs, s'intéressant à un morceau bien particulier de ce gigantesque univers créé par Crisse.
Dans ce 12e tome, on retrouve l'équipe créative du 1er tome, il s 'agit en fait de sa suite directe. Du coup, même s'il peut se lire de façon totalement indépendante (ce que j'ai fait), il vaut quand même mieux lire les deux à la suite ou relire le tome 1 avant.
Ici on s'intéresse à la formation de space sniper de Dragan Preko. Et en parallèle on apprend l'histoire du "vrai" Preko, Mitchell Preko. Et on apprend ainsi que pour lui aussi ce n'était pas son vrai nom.
L'histoire est un peu confuse, on ne sait pas bien au final comment situer l'instructeur de Dragan... Pendant toute la BD, il semble être le méchant à abattre mais un retournement de situation final fait que j'ai été un peu perdu. Je ne sais pas si ne pas avoir en tête la 1e BD a joué ou pas...
Sinon l'histoire est bonne, on apprend plein de choses sur le passé des Preko, et on complexifie un peu plus l'histoire autour de Dragan. Les dessins sont toujours aussi bons, comme toujours dans cette série, quel que soit le dessinateur qui prenne le relais...
Au final pour les fans des séries Kookaburra et Kookaburra Universe, jetez-vous dessus sans crainte, c'est une BD de qualité. Mais rappelez-vous de peut-être relire le 1er tome de Kookaburra Universe auparavant.


18/30

60e Folie : Spin

Spin
de
Robert Charles Wilson

Une nuit d'octobre, Tyler Dupree, douze ans, et ses deux meilleurs amis, Jason et Diane Lawton, quatorze ans, assistent à la disparition soudaine des étoiles. Bientôt, l'humanité s'aperçoit que la Terre est entourée d'une barrière à l'extérieur de laquelle le temps s'écoule des millions de fois plus vite. La Lune a disparue, le Soleil est un simulacre, les satellites artificiels sont retombés sur terre. Mais le plus grave, c'est qu'à la vitesse à laquelle vieillit désormais le véritable Soleil, l'humanité n'a plus que quelques décennies à vivre...
Qui a emprisonné la Terre derrière le Bouclier d'Octobre? Et s'il s'agit d'extraterrestres, pourquoi ont-ils agi ainsi ?


Lu dans le cadre d'une LC prévue pour le 5 octobre.
C'était le troisième roman de cet auteur que je lisais après Darwinia et Les Chronolites, j'avais déjà beaucoup aimé le premier et adoré le second, et ce troisième livre confirme le talent de Robert Charles Wilson. C'est un grand écrivain de Science-Fiction, nul doute que dans les années à venir il sera considéré comme un auteur "classique".
Sa science-Fiction n'est pas tapageuse à coups de batailles dans l'espace, ou ultra-scientifique, c'est avant tout une Science-Fiction humaine. En effet, même si la technologie joue une place importante dans ce livre, on se rend rapidement compte qu'elle n'est là avant tout que pour mettre en valeur les personnages, ce n'est pas elle la vedette.
Wilson nous parle ici d'une Terre qui se verrait tout à coup coupée du reste de l'Univers par une sorte de membrane pourtant relativement perméable qui aurait un effet temporel. A l'extérieur de cette membrane le temps va des centaines de fois plus vite. On s'en aperçoit lorsqu'en tentant de lancer des satellites pour comprendre ce qui se passe ceux-ci retombent presque aussitôt, et contiennent pourtant des heures et des heures de données.
On suit donc sur des dizaines d'années les vies de Tyler, Diane et Jason. On les voit changer, on les voit faire des choix qui les rapprochent, des choix qui les éloignent, des choix qui les font grandir et changer. On voit comment chacun d'entre eux réagit différemment à tout cela. Tyler ne semble pas réellement se poser de questions, il prend les choses comme elles sont, Diane se tourne vers la spiritualité, et Jason, en surdoué curieux et avide de savoir qu'il est, cherche à comprendre le mystère du Spin, ainsi que cette membrane sera bientôt nommée.
Mais bien évidemment, on ne fait pas que suivre les vies de ces trois personnages principaux. On suit également à travers eux quelques autres personnages, comme les parents de Jason et Diane, ou la mère de Tyler, et leurs façons toutes différentes et bien à eux de réagir.
A travers Jason, on suit également, la maigre compréhension qui se fait au fur et à mesure du Spin, de ses conséquences, de ses possibles causes, de ses possibles raisons. La compréhension des raisons du Spin est plutôt bien amenée, elle n'intervient pas d'une manière brutale à la toute fin du récit, non elle est amenée progressivement et est très originale et surprenante. Je ne pense pas que quiconque s'attende à une telle explication et à une telle fin.
La construction du récit est également originale, peut-être un peu déstabilisante au début, mais on s'y fait très vite. En effet, l'auteur alterne un chapitre où Tyler raconte son présent, et plusieurs chapitres qui sont en quelque sorte des flash-backs de sa vie passée, flash-backs qui amènent petit à petit jusqu'à l'époque de son présent.
En définitive, c'est vraiment un très bon roman, très bien écrit, très prenant, très facile à lire j'ai trouvé. Une suite existe, je la lirais à coup sûr, mais toujours est-il que ce livre se suffit à lui-même. Quand on le termine, on n'a pas forcément besoin d'une suite.
Les avis de : Miss Spooky Muffin, Lelf, Julien le naufragé, Spocky

11e Digression : Challenge Eddings

Et voilà encore un Challenge !! Je pense que certains seront râtés, mais tant pis...
Celui-ci il me semble peu probable que je le rate, puisque Liselle le fait sans limite de temps.
Petite originalité, il faut accompagner sa lecture, d'un petit texte d'au moins 800 mots ou d'un poème/une chanson ou d'un dessin, en rapport avec l'univers d'Eddings à chaque fois évidemment.

Il s'agit du Challenge Eddings qui comme son nom l'indique, consiste à lire des livres du couple Eddings. J'en possède pas mal, mais je ne m'étais jamais décidé à les lire. Ce sera l'occasion pour moi de tenter. En plus j'avais promis à Liselle de m'inscrire si elle faisait un Challenge Eddings. Chose promise...
Je préfère commencer doucement, aussi pour l'instant me suis-je inscrit au premier niveau, "Ce'Nerda", qui consiste à ne lire qu'un livre d'une des sagas, je vais donc lire "La Belgariade, tome 1 : Le Pion blanc des présages" puisque je possède les livres.